lundi 9 mars 2015

sara tazi tassi




Je m’appelle Sara Glaoua, je suis né à Casablanca un 9 Aout 1990.
J’habites en Australie depuis un peu plus de 2 ans à présent. Je suis venue m’installer en Australie dans le but de faire une école de cinema a Sydney. J’avais visiter le pays deux ans auparavant, et je m’y étais beaucoup plus. Ce que j’avais surtout apprécier c’était le sentiment de sécurité que j’avais perçu. Ici, en Australie, je pouvais marcher des heures durant, sans craintes, ni dans la peur que l’on me suive, ou que l’on me fasse du mal. Je suis venue cherche une liberté d’être.
Avant cela, j’ai étudié a Paris. D’abord une année en marketing, puis 3 années en école de théâtre aux Cours Florent.
En Australie, j‘ai découvert ma vraie passion, l’écriture et la réalisation. Une année entière s’est offerte a moi, remplie de joie, d’amour et de découverte. J’y ai appris une nouvelle langue et l’envie certaine de raconter des histoires. J’ai pu réaliser 3 courts métrages, dont l’un inspirer de mon petit frère et qui a voyager un peu partout dans le monde dans des festivals et reçu le prix du meilleur scénario et meilleur direction de photographie dans la catégorie étudiant a Los Angeles International New Wave Film Festival.
S’en est suivie une autre année sans études, mais ou l’ont apprend bien plus qu’en étant assis dans une salle de classe.
L’enseignement de la vie.
J’ai enchainée les petits jobs, travailler sur des films en tant que designer, par peur, pour ne pas perdre la main.
Alors d’aventures en aventures, le temps passe, l’argent s’accumule mais se perd très vite. Puis un jour comme a mes habitudes l’envie me prend a nouveau, partir.
Partir, pourquoi?
Simplement car c’est ainsi que je vie, je ressens et j’entreprends. J’ai confiance en ce que mon intuition me dit. En effet je suis une grande fan d’Einstein.
Billets acheter, première destination est Melbourne, suivie de la nouvelle Zélande puis les philippines et enfin le Népal.
Je décide de m’installer deux mois a Melbourne, pour pouvoir prendre un peu d’espace avec Sydney, car je sais que le choc sera grand si je quittes l’Australie et Sydney d’un seul jet.
A Melbourne, je travaille dans un bar a jus pour combler mes journée et pouvoir financer mon voyage.
D’ici un mois, je serais en Nouvelle Zélande, ou j’atterris a Christchurch sur l’ile du sud. L’idée serait d’explorer le sud de la Nouvelle Zélande, de faire du stop et de remonter vers le nord ou j’ai un vol pour les philippines au départ d’Auckland.
La nouvelle Zélande est l’immensité des étoiles qui nous entourent.
Une tente sur le dos, une pancarte : Friendly Moroccan Girls looping for a Ride. Storyteller. Have you ever heard of Morocco?
Sans but précis, seulement sur le chemin de ma maison. Voila mon but premier.
Puis ma mère a toujours était une grande source d’inspiration pour moi. Au premier abord, elle a eu peur de mon expédition. Mais très vite, s’est vite enthousiasmer de mon périple, et ma mener a trouver une raison a mon périple. Elle me voit comme une ambassadrice du Maroc, dans des contres inconnues. M’achète des mini drapeaux marocains pour les donner a tout ceux que je croiserai. Elle est fière que je sois sa fille certes, mais marocaine, et que je puisse compter a tout le monde les beauté de notre pays. Cette idée me plait aussi.
Notre pays est beau, nos traditions sont riches, notre joie de vivre est incomparable et notre bonne humeur doit sans doute faire des envieux. Oh, mon Maroc, a jamais, a partout je t’enmenerai.
J’ai toujours eu inconsciemment l’envie d’écrire sur la route.
Alors voila, un carnet de route d’une marocaine dans le monde.
On peut parfois se mentir a soi même, mais en soi on peut tous devenir qui l’on est, et ne jamais oublie nos rêves d’enfant.
Le premier des rêves que j’ai eu était de devenir astronaute, mais ma tête n’était pas si bien faite. S’en suit, le désir d’être reporter animalier, pour pouvoir voyager, être dans la nature.
J’ai toujours rêver de faire le tour du monde, je suis en cours.
Work in process.
Qu’est ce que l’hospitalité aujourd’hui?
Je voyage avec un budget très serrer, donc je ne vais pas pouvoir me permettre de dormir dans des hôtels. A vous dire vrai, j’ai horreur des hôtels. J’irais loger chez l’habitant, frappant de porte en porte, le temps d’une nuit ou deux, pour partager quelques histoire, un repas et  le plaisir de se croiser dans notre courte vie.
Qu’est ce que l’hospitalité aujourd’hui?
Aux philippines, je serais sur les traces de mes grands parents. J’ai a la maison des fortage des années 70 en super 8, d’eux sur une rivière entre des falaises aux philippines. Je veux partir sur leurs traces, voir ceux qu’ils ont pu voir et me reconnecter avec eux. Je compte plus être en reportage d’expédition sur ce voyage la ou je resterai également un mois et demi.
Et finalement au Népal, je resterais deux mois, et je travaillerais dans une association humanitaire, car j’ai toujours voulu savoir ce que vaux le plaisir de donner sans compter et sans rien en retour. 
5 mois
5 mois pour écrire, pour filmer, pour raconter,pour partager, pour dire au monde entier que notre Maroc est chéri, aimer, et qu’il devraient y aller.
5 mois pour le voyage de Sara.
Mes espoirs se fondent sur ces 5 mois,
serais-je ou ne serais je pas a l’image que l’enfant que j'étais qui se surprenait a rêver des jours durant du monde entier?